En avril 1976, débute le deuxième procès de Pierre Goldman, militant d’extrême gauche, accusé de quatre braquages à main armée, dont un ayant entraîné la mort de deux femmes. Alors qu’il risque la perpétuité, l’homme, éloquent et provocateur, clame son innocence et rend l’issue du procès incertaine en décidant de ne pas suivre la stratégie de ses avocats.